Jamais je n’ai osé briser
Les moucharabiehs délicats
De bois de cèdre et de thuya
Qui cernent ma cage dorée
Lîla bint Rubya, seconde épouse de Rimar el Shakir,
seigneur de Ksar Ayoun, ne vécut pas trente ans. Prisonnière d’un époux
tyrannique et d’une terrible dépendance à l’aziram, elle mourut, assassinée par
celui qui ne supportait pas qu’elle lui échappe. Son œuvre, découverte après sa
mort, est l’une des plus poignantes de la culture teshite.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire